Au Japon, de nombreux hommes hésitent encore à déclarer avoir souffert d’abus sexuels, malgré certaines modifications significatives dans le Code pénal.
« Les préjugés selon lesquels les hommes ne tombent pas dans les mains de prédateurs sexuels persistent durement », déplore un collectif de soutien aux victimes.
Le Code pénal japonais avait été révisé il y a plus de cinq ans, en juillet 2017, en remplaçant le terme de « viol » par « relation sexuelle forcée…
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