La ville de Kibichuô, dans la prefecture d’Okayama, a commencé lundi des examens sanguins après qu’un composé chimique potentiellement cancérigène, le PFAS (per- et polyfluoroalkylées), a été détecté dans les eaux d’une usine locale de purification.
Selon le ministère de l’Environnement, il s’agit des premiers tests publics menés par le Japon au sujet du PFAS.
D’ici le 8 décembre, environ 800 habitants devraient se soumettre à ces analyses. Celles-ci…
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