Depuis le mois d’avril, la police tokyoïte a débuté l’utilisation d’un kit de test permettant de déterminer en quelques minutes seulement si une victime d’agression sexuelle a ingurgité du GHB (acide gammahydroxybutyrique), une substance plus communément appelée « drogue du violeur » ou « ecstasy liquide ».
Ce moyen de dépistage a été distribué dans tous les postes de police de la capitale, et c’est la…
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