Le 20 octobre, la Haute Cour de Tokyo a ordonné à Sugita Mio, députée du PLD (parti libéral-démocrate, au pouvoir) de verser 550 000 yens (3 700 euros) de dommages pour avoir apprécié des tweets diffamatoires à l’encontre d’Itô Shiori, journaliste qui s’est battue depuis près de sept ans pour faire reconnaître le viol dont elle avait été victime par un ancien confrère.
La parlementaire, suivie par quelque 110 000 personnes sur Twitter, avait mis un pouce…
Cet extrait d’article provient de www.nippon.com
Tous droits réservés à nippon.com
Comments 0